Mexico City marque le début de notre voyage au Mexique qui va nous emmener jusqu’à la ville de Oaxaca que nous rejoindrons à l’occasion de la fête des morts. La capitale du Mexique n’a pas vraiment bonne réputation auprès des européens (sécurité, pollution, foule, embouteillages, …) et pourtant, on va le voir, la ville a de jolis trésors à offrir. Pour profiter pleinement de la ville, son histoire et sa culture, nous souhaitions découvrir Mexico autrement, nous avons donc mis au défi Terres des Andes, notre agence partenaire, de nous faire découvrir des lieux emblématiques mais sous un autre angle, loin des touristes … et, spoiler, c’est très réussi ! On vous parle d’ailleurs de cette agence engagée et de ses valeurs en fin d’article.
Notre road trip de Mexico à Oaxaca
Avant de vous embarquer avec nous dans la région de Mexico, nous tenions à vous en dire un peu plus sur ce voyage au Mexique ! Après avoir eu la chance de découvrir les régions du Yucatan et du Chiapas, il y a quelques années, nous explorons cette fois une autre région du Mexique avec la ville de Mexico, Puebla et la région de Oaxaca à l’occasion de la fête des morts.
Un voyage que nous avons organisé avec l’agence engagée Terres des Andes. Au programme ? Ce qui nous anime le plus en voyage : les rencontres, en passant par la découverte d’initiatives engagées, des visites qui ont du sens ! En fin d’article on vous en dit plus sur leurs valeurs et en quoi leurs voyages sont différents
Notre article retraçant l’ensemble du trip de Mexico city à Oaxaca
Un peu d’histoire-géo sur Mexico City
Avant de parler de ce qu’il y a à voir et à faire à Mexico, arrêtons nous 5min sur l’histoire de cette mégalopole.
L’histoire de la ville débute au XIVe siècle (début 1300) quand les aztèques investissent la région qui n’est alors constituée que d’un immense lac, le Lac Texcoco. Ils y construisent un réseau d’îlots leur permettant à la fois de bâtir la cité de Tenochtitlan et un important système agricole. La difficile gestion de l’eau (crues et mélange d’eaux salées et douces) les oblige à innover, inventer et fait d’eux d’incroyables ingénieurs mettant en place toute une infrastructure hydraulique composée de barrages, canaux d’irrigation, digues, etc. Tenochtitlan connait une forte expansion et devient une des cités majeures de la région.
En 1519, les conquistadors espagnols, emmenés par Hernán Cortés, arrivent à Tenochtitlan pour envahir la cité. Mais les aztèques résistent et Cortés mettra 2 ans pour sortir vainqueur. Les espagnols détruisent alors toute la cité, ne laissant que des ruines pour y construire Mexico, la capitale de la Nouvelle-Espagne (certaines ruines, utilisées pour les fondations des bâtiments coloniaux sont encore visibles). Habitués au climat aride, les espagnols ont fait le choix d’assécher la vallée plutôt que de profiter de la fertilité de ses terres. Ils mettront 400 ans pour faire disparaître la quasi-totalité de cet ensemble de lacs.
Vestiges de la période préhispanique, les canaux de Xochimilco sont, aujourd’hui, le témoin de l’agriculture traditionnelle aztèque. Mais si l’assèchement de la région a permit l’expansion continue de Mexico, le sol n’en reste pas moins instable : certains quartiers de la ville s’enfoncent de 30cm par an ! Ce qui engendre évidement de sacrés défis pour les ingénieurs comme la gestion du métro ou l’enfoncement des bâtiments coloniaux les plus lourds.
Mexico city – le guide
Nous ne vous proposerons pas un city-guide complet de Mexico City dans cet article étant donné que nous ne sommes pas restés assez longtemps pour visiter toute la ville. Cependant, on vous propose de se concentrer sur un quartier réputé pour être calme, agréable et sécure (Coyoacán) et deux expériences idéales pour découvrir la capitale mexicaine autrement.
Quelques infos pratiques cependant.
Mexico, ville dangereuse ?
On le disait, en Europe, Mexico a la mauvaise réputation d’être une ville dangereuse … évidemment cette réputation ne s’est pas faite toute seule et il y a forcément une part de vérité. Mais il faut relativiser un peu, toutes les grandes villes du monde ont leurs quartiers plus ou moins fréquentables pour les touristes. Il convient juste de se renseigner en amont sur la ville, éviter d’afficher des objets de valeur et de visiter en journée plutôt que tôt le matin ou tard le soir certaines parties de la ville.
Durant notre séjour, nous n’avons pas ressenti la moindre insécurité. Au contraire, nous avons été agréablement surpris de découvrir une ville assez nature avec de nombreux parcs, places et rues arborées, des quartiers calmes où il fait bons vivre.
Combien de jours pour visiter Mexico ?
L’éternelle question ! Je dirai que si vous avez assez de temps, une petite semaine peut vous permettre de prendre le temps de découvrir la ville en détail, de visiter des nombreux musées, de flâner dans les différents quartiers et de prendre la température des alentours.
Si, comme nous, vous avez moins de temps (nous souhaitions arriver à Oaxaca pour la fête des morts), alors 3-4j peuvent vous donner un aperçu agréable de la ville en séjournant dans un quartier comme Coyoacán.
Il est temps d’ailleurs de vous en dire plus sur notre séjour à Mexico
Coyoacán, le quartier calme de Mexico
Situé au sud de la capitale, à quelques encablures du Centro historico, le quartier de Coyoacán est un peu un village dans la ville, c’est le quartier que les mexicains aime pour quitter la frénésie de Mexico. En se promenant dans ses petites ruelles colorées, à travers les petites places au style bohème on en oublie presque la ville de plus de 20 millions d’habitants qui nous entoure.
Ici pas de grands buildings et d’embouteillages mais des rues pavées, des petites maisons colorées et fleuries, des marchés animés et une grande influence artistique qui en font un des endroits les plus charmants de la ville.
Côté histoire, on n’est pas en reste avec de nombreux lieux culturels à visiter ou tout au moins à découvrir en se baladant.
Plaza Jardin Hidalgo
C’est la place principale de Coyoacán et d’ailleurs la 2ème place la plus visitée à Mexico derrière le Zocalo. Composée de nombreux arbres et fontaines, il est très agréable de s’y balader. Vous y croiserez très probablement clowns, jongleurs et autres spectacles qui assurent l’animation en fin de semaine. En fin de journée, les bars et restaurants se remplissent de locaux et de touristes qui viennent profiter du cadre agréable du quartier.
On y trouve aussi à proximité :
- La célèbre Casa Municipal (ou Casa de Cortés), le 1er siège du gouvernement
- Le Jardin del Centenario avec la Fuente de los Coyotes
- L’Eglise San Juan Bautista avec ses belles peintures au plafond
- Le musée national des cultures populaires qui présente les traditions des différents peuples mexicains
- Le monument de Miguel Hidalgo y Costilla.
Parcourir la rue Francisco Sosa
Au départ du Jardin Centenario, empruntez cette longue rue bordée par de nombreux sites culturels :
- L’Eglise San Antonio de Padua, située à l’extrémité de la rue, en direction du quartier San Angel
- Le centre culturel Jesus Reyes de Heroles installé dans une magnifique maison coloniale avec une cour intérieure où on trouve un café restaurant et des galeries d’art.
Plaza Santa Catarina
La Plaza Santa Catarina est un de mes coups de coeur à Coyoacán. Située en face du centre culturel Jesus Reyes de Heroles, c’est une petite place aussi discrète que mignonne avec ses arbres et sa chapelle colorée. On y trouve pas particulièrement d’objets de valeur si ce n’est un beau tabernacle en bronze et or.
Autres points d’intérêt à Coyoacán
Nous n’avons pas eu le temps de visiter tout le quartier mais il existe de nombreux points d’intérêt comme :
- Le célèbre musée de Frida Kahlo, appelé aussi Casa Azul
- L’immense parc Los Viveros de Coyoacán, 39ha et 2km de sentiers au coeur de la végétation
- Les marchés de Coyoacán
- La Plaza de la Conchita
- Le musée Anahuacalli
2 expériences pour découvrir Mexico autrement
Il est temps de vous en dire plus sur ces deux expériences que nous avons vécu grâce à Terres des Andes. En effet, vous ne les trouverez pas dans les guides touristiques traditionnels puisque les personnes que nous allons vous présenter font partie des « amis » de l’agence et propose de partir à la découverte de Mexico sous un autre angle, on se sent privilégiés à leurs côtés.
La face cachée de Xochimilco, chez Dario
Xochimilco est le nom d’un quartier situé au sud de Mexico mais aussi ce qu’il reste du grand lac où a été bâtie la capitale. Ses canaux sont bien connus des mexicains et des touristes qui viennent s’y balader à bord des « trajineras », embarcations traditionnelles aztèques. Bien souvent le tour s’effectue en groupe, voire accompagné d’un mariachis et d’un peu de tequila. Cependant, c’est une toute autre expérience qu’on a eu la chance de vivre.
Ce matin là nous avons rendez-vous avec Diana, tôt … très tôt, avant même que les premiers rayons de soleil de pointent leur nez. Diana habite Mexico City et est guide touristique, elle connaît la ville par coeur. Si elle nous donne rendez-vous si tôt c’est pour vivre pleinement le réveil de la lagune à bord d’une trajinera. Il fait encore nuit lorsque nous arrivons à l’embarcadère qui d’ailleurs, n’est pas un des embarcadères « réservé » aux touristes. On y retrouve notre trajinero qui va nous conduire sur sa trajinera, à travers les canaux, loin de l’agitation, des cris et des chants. Seuls les bruits de l’embarcation sur l’eau et quelques aboiements de chiens viennent perturber le silence. Il fait frais, l’air est humide et on avance doucement entre les « chinampas« , ces ilots artificiels construits il y a des centaines d’années par les ancêtres qui ont été les premiers à cultiver fruits et légumes.
Après quelques dizaines de minutes, les premiers rayons de soleil apparaissent, embrasant le ciel. Quelques kayaks, eux aussi privilégiés, nous rejoignent pour admirer le spectacle.
Puis nous reprenons la route. Nous passerons devant l’île aux poupées, étape immanquable des tours classiques mais contrairement à eux, nous ne nous y arrêterons pas. L’histoire ressemble davantage à un folklore peu intéressant. Nous continuons notre navigation alors que Diana nous raconte l’histoire de Xochimilco, « l’endroit où poussent les fleurs » en langage náhuatl, de ses origines à aujourd’hui. D’ailleurs, nous nous apprêtons à débarquer sur l’un des nombreux ilots pour y rencontrer un homme qui fait perdurer cette agriculture ancestrale.
Nous sommes merveilleusement accueillis par Dario, éleveur/cultivateur qui est installé ici depuis des années et sa sœur. Un petit déjeuner, on ne peut plus local, nous attend : omelette avec les œufs de ses poules, légumes du jardin, miel du voisin, yaourt maison fait avec le lait de ses chèvres … on se régale. C’est aussi l’occasion de faire connaissance et d’en savoir sur sa ferme, ce qu’il y fait.
Ce qui nous attire le plus, c’est la passion qu’il a à parler de son mode de culture, hérité des savoirs ancestraux : il tient à faire perdurer les traditions aztèques qui avaient pour objectif de se nourrir de la nature tout en la respectant. Sa vision va encore plus loin que la permaculture, déjà respectueuse de l’environnement, et parle de symbiose entre le vivant, de systèmes « nerveux » entre les végétaux. On ferme les yeux et est projetés dans un monde souterrain à la Avatar en buvant ses paroles.
Il est temps de partir à la découverte de son ilot. Dario nous fait découvrir sa ferme tout en nous parlant des vertus des plantes médicinales et des légumes qu’il cultive. La terre y est tellement fertile qu’il peut avoir jusqu’à 7 récoltes en une seule année !
Il en profite pour nous parler de la préservation de ce lieu unique. La ville de Mexico étant très polluée, Xochimilco n’est pas épargné et les animaux vivants dans les canaux (poissons, grenouilles et axolotl) sont en danger. Des projets de conservation sont menés afin de protéger la faune et la flore de cet écosystème.
Après quelques heures passées aux côté de Dario, nous reprenons la route à travers les canaux de Xochimilco pour profiter de la lagune de jour cette fois-ci.
Cette matinée à Xochimilco accompagnés de Diana nous a plongé au coeur d’un lieu naturel incroyablement chargé d’histoire bien qu’il n’y ai aucune trace de temple ou autres constructions préhispaniques. On y regarde les strates des îlots de terre comme les années qui s’accumulent depuis l’arrivée des aztèques dans la vallée. Au-delà de la balade qui est très agréable, c’est une véritable expérience sensorielle où la vue, l’ouïe, l’odorat sont stimulées ; et même le goût et le toucher grâce à Dario.
On ne peut que vous recommander d’abandonner toutes autres formes de découverte de Xochimilco !
Découverte du Pulque et pique-nique aztèque
Ce matin Diana nous emmène à la sortie de la ville de Mexico, dans la vallée de Teotihuacán. Nous visiterons le site archéologique du même nom l’après-midi mais avant, nous partons rejoindre Nadia, Laura et Don Sebe au milieu des champs, en rase campagne.
Ils ont créé une petite coopérative locale pour promouvoir leur culture à travers différentes expériences et aujourd’hui ils nous proposent de découvrir la culture du cactus maguey et la réalisation du Pulque, alcool traditionnel mexicain dont la notoriété dépasse ici celle du mescal ou de la tequila.
En chemin, Laura tient à nous parler de la culture du maïs qui est d’une importance capitale pour leur communauté. Ils se cuisine de multiples façons : grillé, en soupe, en bouillie ou en farine pour la confection de différents plats ou pâtes comme les célèbre tortillas. Tout est utilisé dans le maïs, même les feuilles qui permettent la cuisson des tamales par exemple. On en profite donc pour cueillir quelques épis qui serviront pour le pique-nique du midi.
Rapidement, nous rejoignons Don Sebe, qui vient d’une famille où le métier de « pulquero » se transmet de génération en génération. Avant de passer à la pratique, il nous explique comment choisir le bon cactus, celui qui offrira la meilleure sève. Une étape qui paraît anodine mais qui va déterminer la saveur du Pulque.
A l’aide de ses outils traditionnels, il extrait un liquide blanchâtre du coeur du cactus, appelée « aguamiel« . Voici l’ingrédient unique du pulque que nous goûtons avant qu’il soit mis en fermentation pour quelques jours.
Ce moment est un prétexte parfait pour en savoir davantage sur l’histoire du Pulque et comment la tradition perdure dans la région. En effet, de nombreux jeunes ne veulent pas reprendre la ferme familiale, préférant apprendre un autre métier. Heureusement des initiatives ont été entreprises pour valoriser le métier de pulquero et aujourd’hui l’héritage est en bonne voie d’être assuré, appuyé par l’écotourisme.
Le hasard fait bien les choses, c’est à ce moment là qu’un voisin, plus jeune, nous rejoint et appuie les propos de Diana et Laura. Il en profite pour nous raconter son histoire et y aller de sa petite démonstration pendant que Don Sebe ramène sa récolte ! Il a lui même quitté la ferme familiale pour devenir technicien dans les télécom avant de revenir aux sources. Ce qui était vu comme une activité un peu arriérée avant est aujourd’hui une fierté pour lui.
Avant de repartir, nos 3 hôtes nous proposent de partager un pique-nique avec au menu, des recettes 100% traditionnelles … et du pulque ! C’est en bordure d’un de leurs champs de maïs, à l’ombre d’un arbre qu’on s’installe. Nadia est déjà là, préparant le feu pour la cuisson des différentes spécialités.
Au menu : maïs grillé, tortillas de maïs, haricots noirs, guacamole, nopales (oreilles de cactus) et des criquets appelés aussi chipolines.
Chacun met la main à la pâte et on en profite pour s’essayer à la cuisine traditionnelle de la région pendant que Don Sebe raconte ses histoires, faisant rire tout le monde. Le pulque aide à libérer la parole !
La fin de l’expérience approche et on doit quitter nos hôtes du jour. Nous repartons avec le sentiment d’avoir vécu un moment privilégié autour d’une belle rencontre tout en ayant partagé l’histoire de leurs traditions et leur culture. Cette matinée passée avec Nadia, Laura et Don Sebe nous conforte dans l’idée que ce genre d’expérience enrichit pleinement les voyageurs mais aussi les locaux par les souvenirs et la transmission de connaissances.
Nous ne pouvons que valider le choix de Terres des Andes d’emmener ses voyageurs rencontrer ses amis !
Visite du site de Teotihuacán
C’est LE site archéologique de Mexico city et même si nous avions déjà visité pas mal de sites archéologiques au Mexique (comme Palenque, Uxmal, Tulum ou encore Bonampak et Yaxchilan), celui-ci est totalement différent. Le site est globalement moins bien conservé puisqu’on y trouve pas d’ensemble de constructions urbaines en revanche les pyramides sont beaucoup plus grandes, immenses même ! Ses 2 pyramides principales comptent même parmi les plus grandes d’Amérique : la pyramide de la lune mesure 43m de hauteur tandis que celle du soleil pointe à 75m de haut ! Cette dernière est même aussi large que la pyramide de Kheops en Egypte …
On a particulièrement été impressionnés par la taille de ces 2 pyramides, bien plus grandes et imposantes que celles des sites déjà visités. Les couleurs de certaines peintures, notamment à l’entrée mais aussi quelques représentations murales que l’on trouve sur le site sont aussi très bien restaurées et permettent d’imaginer la beauté du site à l’époque où les aztèques l’occupaient.
De nombreux voyageurs se contentent des 2 pyramides et en oublient la citadelle et le palais de Quetzalcoatl décoré des statues de serpent à plumes. Ce côté du site de Teotihuacán vaut pourtant le détour et offre une jolie vue sur le reste du site.
Conseil : pour éviter la foule, les nombreux vendeurs ambulants et la chaleur, nous vous conseillons vivement de vous rendre sur le site à son ouverture le matin.
Votre journée dans la vallée de Teotihuacán pourrait ressembler à :
- Vol en montgolfière au dessus du site de Teotihuacan au lever du soleil
- Visite du site archéologique à l’ouverture
- Pique-nique et rencontre avec Nadia, Laura et Don Sebe
Plutôt sympa ? Ca tombe bien, normalement c’est le programme que propose Terres des Andes !
Ou dormir à Mexico ?
Nous avons séjourné à Casa Jacinta, une très belle guesthouse installée dans une maison coloniale traditionnelle, à 5-10min à pied de la Plaza Jardin Hidalgo, dans le quartier de Coyoacán.
Casa Jacinta
Prix : autour de 120€ la chambre double
Réserver une nuit à Casa Jacinta
Partir au Mexique avec Terres des Andes
Comme on vous le disait en introduction, Terres des Andes, c’est bien plus qu’une simple agence de voyage. C’est une agence qui a à coeur de prioriser les guides et les communautés locales rencontrés. Des guides, qui, pour beaucoup deviennent des ‘amis du bout du monde‘. Voyager avec Terres des Andes, c’est accorder du temps aux rencontres, c’est découvrir des initiatives engagées, des projets sociaux, environnementaux.
Les voyages proposés par Terres des Andes favorisent la rencontre, souvent grâce à l’intermédiaire d’un guide local, et toujours avec la promesse de moments riches en immersion. Certaines parties de ce voyage ont été vécu sur des moments « libres » de notre séjour organisé, c’est justement le cas avec cette petite escale du côté de Puebla.
Label ATES, qu’est-ce que c’est ?
Terres des Andes est en effet une agence labellisée « tourisme équitable et solidaire » grâce à l’ATES, ce réseau national qui regroupe différents acteurs prônant un tourisme différent grâce à ses engagements auprès des populations locales et/ou encore une juste rémunération des guides et famille qui accueillent les voyageurs.
Ce qui nous a plu ?
Terres des Andes, en plus de proposer un séjour qui a du sens, reverse un % du voyage permettant le financement d’un projet de développement (social, environnemental, etc).
Pour en savoir plus sur les différents engagements de l’agence.
Ce voyage, réalisé dans le cadre d’un reportage nous a permis de découvrir des endroits secrets, des initiatives engagées, et des découvertes toujours au plus près des populations locales, tout ce que l’on apprécie en voyage.
Pour plus d’informations, vous pouvez contacter Terres des Andes via le formulaire ci-dessous. Romain, Paul et Mélanie répondront à toutes vos questions et vous aideront à préparer votre séjour au Mexique.